Luis Enrique : "Si je vois un joueur qui n'est pas à 100 %, il ne jouera pas contre Brest"
Brest : "En principe, l'avantage de jouer contre Brest dans un cours laps de temps, c'est que nous savons les difficultés que nous allons rencontrer. C'est difficile de leur prendre la balle, ils jouent de longs ballons et défendent très bien. C'est l'une des meilleures équipes du championnat. C'est un match de coupe très difficile.
Il y a tellement de matchs de suite, on est sur une dynamique très bonne au niveau des résultats et du niveau de jeu. L'équipe continue d'être performante. Nous voulons être plus performants et demain, c'est un match qui se joue à tout ou rien."
Le PSG peut-il briser son plafond de verre en C1 ? : "Oui, sans aucun doute. Ce sont des compétitions différentes. Le championnat, c'est la régularité. En coupe, chaque match est une finale."
Le niveau de la Ligue 1 : "J'essaie de me faire une réflexion depuis six mois. Nous sommes conscients des aspects où nous pouvons être meilleurs, mais le temps dira où on va. On est leader du championnat avec des adversaires de bon niveau comme Lens, Lille, Brest, Monaco et Nice. C'est un championnat beaucoup plus difficile que ce que je pensais. Je suis satisfait de ce qu'on fait en tant qu'équipe."
La préparation individuelle des joueurs : "Cela fait longtemps que les joueurs font appel à des préparateurs physiques, ostéopathes… S'il y a une coordination, cela me paraît bien, les joueurs sont de plus en plus professionnels. La majorité a un chef qui cuisine à la maison."
La contre-attaque comme plan de jeu : "Je ne vais pas de l'interprétation de ce que chacun va faire. Nous sommes l'équipe qui le plus de possession de balle, la 2ᵉ de Champions League derrière Manchester City. Nous sommes beaucoup plus forts quand nous avons la balle. Cela ne veut pas dire qu'un adversaire ne peut pas avoir la balle plus que nous. L'équipe qui se crée le plus d'occasions et en prend le moins, c'est nous."
Le jeu de possession : "L'idée de jeu est tout le temps en évolution. Les joueurs qui touchent le plus le ballon sont souvent les défenseurs centraux. Notre idée de jeu est très claire, je n'ai aucun doute sur la façon de jouer de notre équipe, mais cela ne veut pas dire que l'adversaire ne pas être meilleur que nous.
Je vois que la question est de trouver des esquisses pour détruire le château, j'adore. Je n'ai pas d'autres choses à dire sur le sujet. À partir de là, ce sont des réflexions vides, mon avis reste le même."
Une baisse d'intensité à prévoir contre Brest ? : "Si je vois un joueur qui n'est pas à 100 %, il ne jouera pas. Je transmets à mes joueurs comment il faut vivre ce métier. Les joueurs doivent être à 100 % sinon ils ne sont pas dans l'équipe. Cela n'est pas arrivé contre Revel, ni Orléans et n'arrivera pas contre Brest."