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La Real Sociedad bat le Celta de Vigo et rejoint les demi-finales de Coupe du Roi

César Suárez - Flashscore Espagne
Oyarzabal, embrassé par ses coéquipiers après son but.
Oyarzabal, embrassé par ses coéquipiers après son but.Profimedia
La Real Sociedad est le premier demi-finaliste de la Copa del Rey après avoir battu le Celta de Vigo à Balaídos. Un but précoce d'Oyarzabal dès la première minute de jeu a facilité la tâche des hommes d'Imanol Alguacil, qui ont marqué en seconde période sur une contre-attaque terminée par la recrue Sheraldo Becker.

Les supporters s'installent confortablement dans les tribunes lorsque Oyarzabal, servi par Mikel Merino, marque le premier but (1-0). Les choses ne pouvaient pas mieux se passer pour la Real Sociedad dès la première minute.

Le Celta, qui comptait huit nouveaux joueurs dans son onze, voulait réagir rapidement, mais trop de nervosité a permis à l'équipe d'Imanol, qui jouait et jouait en imposant le rythme qui lui convenait le mieux. Et s'ils voulaient accélérer, ils cherchaient immédiatement le débutant Becker.

Quoi qu'il en soit, c'est sur coup de pied arrêté que les meilleures occasions de marquer le deuxième but se sont présentées. L'équipe de Vigo a très mal défendu et face à un Mikel Merino qui gagne tous les ballons aériens. Le Celta a échappé de peu au deuxième but, notamment sur un tir d'André Silva qui a frôlé la barre transversale.

Face à l'impuissance du Celta, le seul mauvais moment pour les Donostiarras fut la blessure musculaire de Tierney. Heureusement que Javi Galán avait déjà été recruté, car le drame au poste d'arrière gauche aurait été énorme. À la mi-temps, le score était de 0-1 et les hommes de Rafa Benítez pouvaient s'en féliciter.

Le Celta devait changer radicalement s'il voulait rester en vie en Copa. Et il se montrait plus offensif, osant regarder Remiro dans les yeux, mais laissant des espaces qui sont autant de bonbons pour un sprinter comme Sheraldo Becker. Première fois, hors-jeu. À la deuxième, Kevin efface in extremis la passe du Néerlandais pour laisser Oyarzabal seul. À la troisième, il se retrouve en tête-à-tête et bat Iván Villar pour faire ses débuts et marquer le 0-2.

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