La bataille pour Güler : le Barça sans argent, Madrid sans place et Dortmund en pole position
Le FC Séville a été le premier club espagnol à faire une offre sérieuse pour le jeune talent turc. Après un suivi attentif, tous les départements du club impliqués dans le processus de recrutement ont donné le feu vert pour entamer les négociations. Les premiers contacts ont été positifs, mais la concurrence a fait son apparition. Víctor Orta, redouble d'efforts pour recruter le talent ottoman, mais la situation est rendue compliquée par la commission demandée par son père (20 millions d'euros) et par les clubs qui font de la surenchère.
Le Real Madrid ne veut pas rater ce qu'il considère comme une grande opportunité : il est jeune, bon, avec une énorme marge de progression et pas très cher. Mais le joueur n'aurait pas de place dans l'équipe première et jouer avec l'équipe réserve n'est pas une option qui attire Güler ou son entourage. L'alternative envisagée à Valdebebas est de le laisser en prêt pendant un an à Fenerbahçe en attendant les départs présumés de Modric et Kroos en 2024 pour lui faire une place.
Le Barça le veut mais sa situation économique ne lui permet pas de se payer l'opération avec des garanties minimales. Pour l'instant, il ne peut que faire des projections. De plus, sa priorité est de trouver un remplaçant à Busquets.
Celui qui semble avoir pris les devants est le Borussia Dortmund. C'est un géant allemand, il a de l'argent à revendre grâce à la vente de Bellingham, il investit dans les jeunes talents depuis des décennies et il met sur le terrain ceux qui méritent de jouer sans regarder leur carte d'identité. En Allemagne, on pense qu'il pourrait être un bon remplaçant pour Bellingham.
L'Ajax est également très intéressé par le Turc. A Amsterdam, on pense posséder l'argent nécessaire pour se l'offrir grâce à la vente de Timber à Arsenal. Le problème est que l'Eredivisie n'est pas un championnat attractif pour le joueur.
Le combat continue donc. D'autres informations suivront dans les prochains jours.