Le remplaçant de Rabiot : "J'ai plusieurs possibilités. Le maillot de Bayonne ? C'était pour une photo. Ça m'a fait plaisir."

Son groupe : "Je le sens bien, il y a pas mal de boulot pour le staff médical. On est veille de match, donc on ne va pas faire grand-chose aujourd'hui. On a su répondre présent à chaque match."

La défense : "On a une maitrise qui est supérieure à ce qu'on avait et à nos adversaires. Maintenant, il y a notre difficulté à être efficace."

Le Portugal : "C'est un rapport de force. Cette équipe préfère attaquer que défendre. Les Pays-Bas avaient été relativement prudents, la Belgique aussi. Est-ce que le Portugal le sera aussi ? Je sais ce que Roberto Martinez aime faire. On cherchera à avoir le plus de maîtrise possible.

La finale 2016 ? Elle était forte, c'était il y a 8 ans. C'était douloureux. Je ne sais pas si elle est plus ou moins forte. On est en quart de finale. Les meilleurs sont là.

Je ne sais pas si ce sera la même chose, mais ça peut se jouer sur peu de choses. Elle fait partie des meilleures équipes européennes. Ce sera un gros match."

Mbappé et Griezmann : "Un coup de moins bien ? C'est l'analyse que vous pouvez faire. Kylian a eu un souci avant l'Euro, il se sent bien. Antoine, dans le volume, est toujours dans des données plus ou moins égales. Sur la partie plus technique, elle est inférieure. On a aura besoin de tous nos joueurs au maximum.

Il n'est pas en déprime. Est-ce qu'on est trop sévère avec Thuram ? Je ne suis pas là pour juger ce que vous pouvez dire ou écrire. L'important, c'est ce que je leur dis. Antoine, Marcus, il y a des choses positives et il y a des choses ou il doit y avoir des progrès."

Les changements : "J'en ai fait peu jusqu'à maintenant compte tenu de l'intensité. Ce n'est pas évident d'entrer dans les matchs même si Kolo est très bien rentré."

Cristiano Ronaldo : "Il a toujours été une menace. Il a toujours la faculté de marquer, d'être décisif. Il a ça. Cela reste un très grand compétiteur."

Les Bleus : "On parle, on échange (avec les autres sélectionneurs), avec certains, on a plus d'affinités. Les Bleus, une équipe clivante ? Je ne sais pas. On a un engouement populaire qui est là. Il y a des gens qui peuvent être pas contents, mais j'ai vu des gens heureux. C'est plus emballant de gagner 5-4, c'est sûr. Les critiques, vous êtes là pour faire votre boulot. Elles ont toujours fait partie de mon quotidien. Aujourd'hui, ça ne m'empêche pas de vivre tranquillement."