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Espagne - Angleterre (2-1) : les notes de la rédaction de Flashscore France

Dani Olmo a été héroïque.
Dani Olmo a été héroïque.MICHAEL KAPPELER/dpa Picture-Alliance via AFP
Découvrez ci-dessous les notes de la finale de l'Euro 2024 remportée par l'Espagne ce dimanche à Berlin.

Espagne

Unai Simon (7) - Carvajal (7), Le Normand (7), Laporte (7), Cucurella (7) - Rodri (6), Fabian Ruiz (6) - Lamine Yamal (7), Dani Olmo (9), Nico Williams (8) - Morata (5).

Angleterre

Pickford (5) - Walker (4), Stones (6), Guéhi (5) - Saka (6), Mainoo (4), Rice (6), Shaw (6) - Foden (3), Bellingham (6) - Kane (2).

Les statistiques de la rencontre
Les statistiques de la rencontreFlashscore/Opta

Le MVP : Dani Olmo

Après avoir été le MVP en quarts et l'un des joueurs majeurs en demies, le joueur de Leipzig est élu MVP de la finale de l'Euro 2024 par nos soins pour la raison suivante : son sauvetage de la tête sur sa ligne à la 90ᵉ minute. Un geste qui équivaut à un but marqué.

Grâce à cela, l'Espagne est championne d'Europe ce soir. Au-delà d'avoir impacté directement sur le score de la rencontre, Olmo a réalisé une fabuleuse seconde période, étant très actif entre les lignes et se montrant dangereux dans ses contrôles et prises de balle.

Les patrons de la Roja : Nico Williams & Mikel Oyarzabal

Ce soir, les joueurs de l'Athletic Club et de la Real Sociedad – sacré clin d'œil – ont inscrit leur nom dans l'histoire du football espagnol. Ils seront reconnus à tout jamais par le peuple espagnol comme les Fernando Torres et autres Andrés Iniesta.

Les deux basques se sont montrés décisifs sur leur seule véritable occasion du match, permettant, à chaque fois, de donner l'avantage à l'Espagne. La frappe à ras de terre de Williams a été parfaite et le sens du placement et de l'appel d'Oyarzabal (8/10) est digne des plus grands 9 – lui le joueur formé en tant qu'ailier et milieu offensif.

Le patron des Three Lions : Jude Bellingham

Il n'a cette fois-ci pas pu sauver les siens, le n°10 anglais a, malgré tout, respecter son rang. Le meilleur de son équipe sur la pelouse de l'Olympiastadion ce soir, Bellingham a tenté des choses et aurait pu voir la rencontre basculée lorsqu'il a adressé une superbe passe entre les lignes à Ollie Watkins. Malheureusement, ce dernier n'a pas su contrôler le ballon, mais son coéquipier avait encore fait la différence.

Avant ça, Bellingham a été passeur décisif pour l'égalisation et peu après l'heure de jeu, sa jolie frappe n'est pas passée loin des cages espagnoles. Dans le jeu, il a été au cœur des temps forts anglais en jouant son rôle. Néanmoins, il n'est pas du côté des vainqueurs ce dimanche soir.

La bonne surprise espagnole : la charnière centrale

Le but concédé est le seul point noir pour une Espagne qui a vu sa défense centrale prendre l'ascendant sur ses adversaires. Le duo Laporte-Le Normand a tenu la baraque jusqu'à la sortie du joueur de la Real Sociedad en fin de match. Derrière, Nacho a pris le relai et à assurer une belle solidité défensive pendant une quinzaine de minutes. Finalement, la Roja a encaissé, certes, mais le but anglais est venu d'une frappe d'en dehors de la surface de réparation…

La bonne surprise anglaise : Cole Palmer

Dommage qu'il n'a pas eu davantage de temps de jeu durant cet Euro, car l'attaquant de Chelsea a été bon à chaque fois qu'il a pu s'exprimer. Aujourd'hui, il n'est pas passé loin d'être le héros de tout un peuple, car son but est arrivé au meilleur des moments alors que son équipe était en souffrance. Sur son premier ballon touché, Palmer a rallumé la lumière. Après ça, il n'a pas su se remettre en évidence et l'Angleterre a malheureusement concédé le second but à la 86ᵉ. Mais le supersub des Three Lions ne sera pas oublié.

Les déceptions : Harry Kane & Phil Foden

C'était leur dernière chance ce dimanche soir pour se montrer définitivement en évidence et faire basculer l'histoire de leur côté, le capitaine anglais et son n°11 sont une nouvelle fois passés à travers un match dans cet Euro

Kane a été particulièrement fantomatique avec une petite dizaine de ballons touchés et trop peu d'impact dans la rencontre. Quant à Foden, il a entamé la rencontre avec beaucoup d'intensité et de volonté, mais il s'est éteint peu après la demi-heure de jeu. Un constat forcément triste lorsqu'on sait que ces deux éléments sont bien plus impressionnants en club. L'Angleterre doit désormais espérer un sursaut d'orgueil au Mondial 2026...

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