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Espagne - Géorgie (4-1) : les notes de la rédaction de Flashscore France

Sébastien Gente
Lamine Yamal continue d'impressionner.
Lamine Yamal continue d'impressionner.Profimedia
Retrouvez les notes de la rédaction de Flashscore France pour e 8e de finale de l'Euro 2024 entre l'Espagne et la Géorgie, ce soir à Cologne.

Les notes de l' Espagne

Unai Simon (6) - Carvajal (6), Le Normand (5), Laporte (5), Cucurella (6) - Rodri (7), Fabian Ruiz (7), Pedri (5) - Lamine Yamal (7), Nico Williams (7), Morata (5)

Les notes de la Géorgie

Mamardashvili (7) - Lochoshvili (6), Dvali (5), Kashia (5), Gvelesiani (4), Kakabadze (4) - Kochorashvili (6), Kiteishvili (6), Chakvetadze (5) - Kvaratskhelia (6), Mikautadze (7)

Le MVP : Lamine Yamal

Où s'arrêtera-t-il ? Ce que l'on peut lui reprocher, c'est d'avoir pêché à la finition dans un match remporté de trois buts par son équipe. Pour le reste, il était partout. Une passe décisive splendide pour Fabian Ruiz, une activité incessante sur son couloir, il a fait vivre une mauvaise soirée à la ligne défensive géorgienne, qui a tout tenté mais n'a pu que le ralentir. Déjà indispensable à la Roja. 

Le patron : Fabian Ruiz

Son but bien sûr, qui donne l'avantage à l'Espagne et change pour de bon le cours du match. Mais le Parisien a fait une rencontre dans la lignée de son Euro : un ton au dessus. Certes, ce n'était "que" la Géorgie en face, mais son rôle de plaque tournante est apprécié pour une équipe qui n'est jamais aussi forte que ballon au pied. Orientation, vision du jeu, cassage de lignes : Fabian Ruiz prend une nouvelle dimension depuis 15 jours. 

La bonne surprise : La Géorgie

Après avoir réalisé un exploit contre le Portugal pour passer en 8e, on pouvait craindre une démobilisation. Il n'en a rien été, et les Géorgiens ont ouvert le score sur leur première occasion, tenu tête aux Espagnols pendant plus d'une heure, se créant des occasions et ne refusant jamais le combat. Une des équipes vraiment agréables de l'Euro, qui n'a jamais fermé le jeu, et qui ne se résume pas qu'à Kvaratskhelia ou Mikautadze. En espérant que cela se poursuive dans les prochains mois. 

La déception : Alvaro Morata 

L'Espagne a gagné, et ce n'est pas grâce à son avant centre. Une maxime entendue de nombreuses fois par le passé, ce qui n'a jamais empêché la Roja de rafler des titres. Ce soir, Morata n'a pas été dans le rythme de ses coéquipiers, ne gagnant presque aucun duel, se créant trop peu d'occasions, et c'est après son remplacement que l'Espagne a tué le match. Le fait d'être capitaine sauvera-t-il sa place pour les quarts ? 

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