"Il y a encore des choses à améliorer. Il faut, par exemple, qu'on soit plus calme dans les situations où on domine le match, qu'on réduise les distances entre nos attaquants et nos défenseurs, qu'on ressorte le ballon plus vite aussi" a-t-il énuméré en conférence de presse. "Si on fait tout ça, cela va être difficile de nous battre", a estimé l'ancien entraîneur du Bayern Munich.
"Il n'y avait pas plus de pression que d'habitude pour nous dans ce match, même si on savait que l'Allemagne n'avait plus atteint les quarts de finale depuis longtemps (2016, NDLR) (...) C'est un privilège de jouer ce genre de match avec beaucoup de pression", a-t-il poursuivi.
"Ce fut un match fou (...) nos adversaires danois sont remontés contre le VAR (après l'annulation d'un but pour hors-jeu et un penalty accordé à l'Allemagne), mais je trouve que le VAR est quelque chose de positif, elle permet de prendre des décisions objectives", a souligné Julian Nagelsmann.
En quarts de finale le 5 juillet à Stuttgart, l'Allemagne affrontera le vainqueur du duel a priori déséquilibré programmé ce dimanche entre l'Espagne et la Géorgie.
"Cela sera un match difficile pour la Géorgie, mais aussi pour l'Espagne, on verra ce qu'il en ressortira", a souligné le sélectionneur de la Nationalmannschaft.
"Il faut respecter la compétition, l'Espagne doit d'abord battre la Géorgie et si c'est le cas, je me réjouis d'affronter mes coéquipiers du Real Madrid, cela sera un beau match", a de son côté souligné Antonio Rüdiger.