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L'Espagne impressionne de nouveau en battant l'Italie et file vers les 1/8 de finale

L'Espagne en mode conquête.
L'Espagne en mode conquête.INA FASSBENDER/AFP
Le score ne dit pas tout du contenu parfois et ce jeudi soir, l'Espagne a largement dominé l'Italie à Gelsenkirchen (1-0). Grâce à un but contre son camp de Riccardo Calafiori, la sélection espagnole valide son ticket pour les 8ᵉˢ de finale de cet Euro 2024.

Une première période à sens unique

Très intéressante face à la Croatie, la Roja a immédiatement pris les choses à son compte dans ce choc face à l'Italie. De l'intensité, des espaces trouvées, de la verticalité et des intentions osées, les joueurs de Luis de la Fuente sont déjà en passe d'être la sensation de cet Euro 2024. Pourquoi ? Car, dès la 2ᵉ minute, les Espagnols ont alerté Gianluigi Donnarumma par l'intermédiaire de Pedri d'une tête bien sentie.

Sept minutes plus tard, Nico Williams se montre de nouveau dangereux en s'essayant, lui aussi, de la tête, mais ça passe juste à côté. Alvaro Morata était à l'initiative, puis à la finition, quand, à la 23ᵉ, c'est encore le capitaine qui est proche de débloquer la situation, mais Donnarumma sort bien sur l'attaquant espagnol. Toujours 0-0, mais le bloc de la Roja est parfaitement en place et met beaucoup de pression sur les Azzurri

Et, cela va durer jusqu'au retour des vestiaires. L'Espagne maîtrise tranquillement son sujet, accélère quand il faut et ne se fait pas surprendre sur transition adverse. Dans les statistiques, il n'y a pas photo, puisque les hommes de Luciano Spalletti n'ont tiré qu'une seule fois après 45 minutes. Désormais, il faut passer la 6ᵉ vitesse pour le collectif ibérique en étant réaliste et tromper Donnarumma.

Une victoire méritée

Événement déterminant dès le début de la seconde mi-temps : Spalletti n'attend pas pour réagir et décide de faire rentrer Bryan Cristante et Andrea Cambiaso à la place de Jorginho et Davide Frattesi. Reste à savoir si ça va payer…

Pas quand à la 55ᵉ, sur un nouveau débordement de Nico Williams, Donnarumma repousse le centre directement sur Riccardo Calafiori qui voit alors le ballon rentrer malheureusement dans ses cages. 1-0 pour l'Espagne dont l'avantage au tableau d'affichage est amplement mérité. Sur l'action suivante, le gardien du PSG réalise son sixième arrêt de la soirée (58ᵉ).

Malgré tout, c'est bien grâce à Donnarumma que l'Italie est encore dans le match… Et, ça renforce encore plus la détermination adverse, puisque c'est au tour de Lamine Yamal de tenter sa chance à l'heure de jeu, mais son tir passe au ras du poteau gauche. Si ça continue ainsi, la Roja devrait vite enfoncer le clou. Mais cela ne vient pas.

Pourtant, ce n'est pas faute d'avoir essayé, car Nico Williams décoche une sacrée frappe à l'entrée de la surface à la 71ᵉ, mais c'est la barre transversale qui empêche le second but.

Le chrono tourne et avec les derniers changements – contre toute attente – les Italiens mettent de plus en plus le pied sur le ballon. Petite pression ainsi dans le camp espagnol. À voir comment le collectif de Luis de la Fuente va réagir pour conserver le score. Plutôt bien finalement quand Ayoze Pérez (rentré à la 78ᵉ) tente sa chance par deux fois dans le temps additionnel – signe que la Roja est restée sereine.

Succès 1-0 donc des Espagnols qui remportent une seconde victoire dans cette phase de poules, verrouillant ainsi leur place pour le tour suivant.

France gouvernement

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