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Ronald Koeman "vraiment fier" de la qualification des Pays-Bas

Ronald Koeman après la victoire de son équipe.
Ronald Koeman après la victoire de son équipe.AFP
Grâce à une victoire renversante contre la Turquie (2-1), samedi à Berlin, les Pays-Bas joueront les demi-finale de l'Euro depuis la première fois depuis 2004, un succès qui a rendu le sélectionneur Ronald Koeman "vraiment fier".

"Pour toute la nation, c'est quelque chose de spécial. Nous sommes un petit pays et nous serons en demi-finale avec l'Angleterre, la France et l'Espagne. On est vraiment fiers d'avoir l'occasion de jouer ce match", a-t-il expliqué en conférence de presse.

"On a souffert ce soir, c'était un match difficile notre adversaire a tout donné et c'était un match plein d'émotions mais on a montré un grand coeur quand on a été mené 1-0", a-t-il estimé.

Après un bon début de match, les Néerlandais se sont montrés "maladroits" face à la défense regroupée des Turcs en première période, a reconnu Koeman, qui a souligné "l'enthousiasme et la qualité" de son adversaire.

Les Turcs ont même ouvert le score à dix minutes de la pause, par Samet Akaydin.

Mais grâce à des changements judicieux, son équipe a su renverser la vapeur grâce à Stefan de Vrij (1-1, 70e), élu homme du match et un but contre son camp de Mert Müldür, six minutes plus tard.

Même menés, "on a continué à y croire en seconde période et à chercher des espaces. On a su être patients et ça a payé", s'est réjoui De Vrij.

En fin de match, la Turquie a été tout près d'égaliser dans mais "l'équipe sait souffrir ensemble et on peut être satisfaits de nombreuses choses ce soir", a poursuivi le défenseur.

Koeman a aussi estimé que les deux prolongations disputées par l'Angleterre, leur futur adversaire, en huitième de finale puis en quart, n'auront pas d'impact sur leur confrontation.

"Gagner vous donne toujours une bonne énergie. On a besoin de récupérer, comme les Anglais (...), on a joué le même jour, on doit voyager comme eux donc ne pense pas que la différence se fera là-dessus", a-t-il assuré.

Sans vouloir trop s'avancer, il a aussi glissé qu'il avait une "préférence personnelle" pour l'Espagne comme adversaire lors d'une finale éventuelle.

"On avait déjà la France dans notre groupe" de qualification et à l'Euro, a-t-il justifié, les trois matches s'étant soldés par deux défaites des Oranje (0-4, 1-2) et un nul (0-0) le 21 juin dernier.

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