L'élimination en C1 : « La nuit a été compliqué, le lendemain aussi. On est des compétiteurs on voulait passer, il fallait une journée de digestion. Comme le coach l’a dit, c’était un jour de deuil, il faut passer à autre chose, d’autres matchs attendant et sont tout aussi importants. C’était un peu dur, physiquement aussi parce qu’on fournit énormément d’effort. La récupération dans le football est le plus important, il faut bien manger, bien boire, bien dormir, je sens le groupe ultra-concerné. »
Son état physique : « Je me sens apte à jouer, je suis focus sur ma récupération, sur la gestion de mon corps. Je fais très attention à tous les détails et rejouer n’est pas un souci. Pour Lodi c’est pareil, l’enchaînement des matchs fait partie du job. Je me sens bien, je me suis bien préparé, je me suis bien vidé la tête, je suis bien entouré, je suis focalisé. C’est peut-être pour ça que ça se passe bien. »
Ismaïla Sarr : « Il est très discret, très agréable à vivre. Les premiers contacts ont été simples. Il a énormément de qualité, c’est facile de communiquer avec quelqu’un d’intelligent, serein. Sur le terrain c’est une bombe, cela fait beaucoup de bien qu’il soit devant moi. L’entente me plait et est à peaufiner. On sait très bien discuter, et comment fonctionne l’autre. »
L'arbitrage face au Panathinaïkos : « On s’est attardées, on cherche à comprendre. On ne va pas ressasser les mêmes choses, il faut se faire à l’idée. Pour la lettre, c’est le président et la direction qui gère ça, on en a parlé entre nous, aujourd’hui c’est fini. »
Mattéo Guendouzi : « Mattéo est un compétiteur, il a la dalle. Il y a des jours avec et sans. On ne va pas l’enterrer, on connaît ses qualités, il n’y a a pas de signal d’alarme. Il était abattu, il espérait plus. Il va passer à autre chose et est focalisé sur la suite. »
Le système de Marcelino : « Il me laisse énormément de liberté, je suis formé latéral. J'ai certains petits détails à régler. Il me parle beaucoup, je lui explique ma façon d’être de jouer. Il connaît mes défauts. Ce qu’il change c’est le positionnement, ça reste un système qui me convient et permet de nous illustrer. »
Dimitri Payet : « On l’a croisé mardi matin, il est venu discuter avec nous, on l’a senti heureux malgré tout. On sait qu’il aime jouer au foot, on lui souhaite le meilleur, ce sera forcément sur le terrain. »
Son axe de progression à la finition : « C’est un axe de progression. À un moment donné, je me rends compte que j’ai beaucoup d’occasions, qu’il faut que je soigne la finition. Je me retrouve souvent en bonne position, il faudrait que je soigne mes statistiques. »
Le temps additionnel : « Ce n’est pas quelque chose qui se travaille, ça va être une question d’habitude. Cela rajoute pas mal de temps, il n’y a pas le choix, il faut faire en sorte que même à la 99e minute, on est prêts. »
