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Luis Enrique : "Il faut gagner le match contre Rennes, tout le reste ne m'intéresse pas"

Eliott Lafleur, au Campus PSG
Luis Enrique lors du match à Reims.
Luis Enrique lors du match à Reims.Profimedia
À la veille de la réception du Stade Rennais, Luis Enrique s'est présenté en conférence de presse ce jeudi.

Des performances moins bonnes : "C'est le football."

Problème physique : "Je sens les choses de façon différente. Au long d'une saison, il y a une évolution, il y a des bons et des moins bons moments, ça fait partie du processus logique d'une croissance de l'équipe. Je trouve la situation contraire, l'équipe résout les problèmes que nous causent les adversaires."

La rotation avant Arsenal : "À aucun moment contre Rennes, je ne penserai au match d'Arsenal. Il faut gagner le match contre Rennes, tout le reste est le futur et ne m'intéresse pas."

Joao Neves : "Ce que j'attends de lui est la même chose que j'attends de tous les joueurs au milieu, il est parfaitement adaptable à mon idée de jeu. Il a une caractéristique vitale pour nous de ne pas perdre le ballon. Il y a la vision du jeu, sa puissance physique, une intelligence, sa relation avec ses équipiers. Il s'adapte très rapidement. Lui et les autres joueurs qui sont arrivés sont tout dans une bonne connexion dans le reste de l'équipe."

Ses propos dans le documentaire à Movistar : "Je ne me souviens plus de rien. Je vais utiliser cette conférence de presse pour donner mon avis que toute phrase sortie du contexte dans un documentaire, je ne les commenterai pas. Ce que je fais dans un doc, c'est ce que je fais dans une situation de préparation de match. Toutes les phases que je dis à mon équipe fait partie de mon travail comme entraineur, je l'adore. Je ne le commenterai pas parce que ce sont des choses qui sont sorties du contexte."

Son rapport aux journalistes : "Je passe un bon moment avec vous. Je n'ai jamais écourté une conf de presse, j'aime parler, je dis ce que j'ai à dire. C'était une réflexion spontanée, si tu me dis que je signe un papier et que je ne parle plus et que tu enlèves 50 % de mon salaire, je signe. Quand tu signes un contrat avec le club, tu es obligé de parler. Si je peux l'éviter, je l'éviterai, surtout les interviews post-matchs."

Parler français : "Non, mes adjoints sont parfaitement bilingues. Quand je parle tactiquement à mes joueurs, je le fais en espagnol. J'aimerais parler en français, mais je le ferai avec vous quand j'aurai vraiment de la marge."

Les blocs bas : "Rennes est habitué à un pressing haut, mais je ne pense pas qu'ils le feront demain parce que c'est une équipe qui s'adapte. Mon travail est de faire face et de trouver des solutions. C'est très difficile de combattre un bloc bas."

La pression inhérente : "Il y a une pression interne, celle du staff. Je connais les standards et les objectifs du club. Nous voulons entrer dans l'histoire et pour cela, il faut gagner tout ce qu'on peut, la compétition la plus importante. La pression est typique d'un grand club et c'est comme ça que ça doit se passer."

Rennes : "C'est une équipe qui joue le haut du tableau, elle nous a posés pas mal de problèmes la saison passée. Ils prennent des points contre nous, ils vont varier dans leur comportement au fil du match. Ils l'ont fait la saison passée. Il n'y a pas de match facile, il y aura des problèmes, mais je suis quelqu'un d'optimiste sur ce type de matchs. On joue au Parc et ça nous stimule."

L'utilisation du groupe : "Avec onze joueurs, je pourrais avoir des objectifs très clairs, mais ce qui m'intéresse, c'est le contexte plus global et pour cela, j'ai besoin de 23 joueurs pour aider l'équipe et qu'ils me démontrent qu'ils veulent jouer."

Le calendrier surchargé : "Bien sûr que ce sont les acteurs aussi doivent prendre la parole. Le calendrier est très chargé, en particulier le leur (celui de Manchester City), le nôtre l'est moins puisque nous avons deux équipes de moins en championnat. Un calendrier moins chargé favorise tout le monde. Une fois tous les quatre ans, il y a cette nouvelle compétition extrêmement excitante, tout le monde veut aller au Mondial des clubs. Ça pourrait se réduire pour la santé des joueurs. Je crois dans la réduction du calendrier, mais notre panorama est différent du football anglais et espagnol. Je partage le problème, mais dans ma situation, je n'ai pas le droit de me plaindre."

France gouvernement

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