Luis Enrique : "Je n'ai besoin de rien sur le mercato, j'ai déjà de tout"
Le match : "Ce pourrait être une très bonne manière de se tester. Le match de demain contre Lens comporte tous les ingrédients dont peut rêver une équipe de haut niveau. C'est un adversaire presque imbattable à domicile. C'est une équipe qui fait du pressing, qui ne donne pas beaucoup de temps pour réfléchir. C'est un grand test, dans un stade avec une belle ambiance, je suis ravi."
Mukiele : "Je suis l'entraîneur, c'est moi qui décide qui joue ou pas. Il n'y a aucune équipe dans le monde où tous les joueurs jouent, c'est impossible. Vous voudriez toujours que jouent ceux qui ne jouent pas, mais c'est moi qui choisis."
Hakimi : "En tant que staff, on ne se plaint jamais des absences de joueurs. Si je commence à me plaindre avec mon effectif, imaginez pour les autres coachs de Ligue 1. Nous sommes une équipe, elle doit régler toutes les situations."
Mercato : "Je n'ai besoin de rien, j'ai déjà de tout, j'ai beaucoup de joueurs et de bons joueurs. Mais le travail de la direction sportive, c'est qu'on est ouverts à améliorer l'équipe à chaque mercato. Au mercato, on est attentifs, ouverts. Des besoins ? On n'en a pas."
Les consignes à la perte de balle : "Tout le monde sait ce qu'on fait quand on perd le ballon. Ce n'est pas un secret. Quand on perd le ballon, on fait le pressing et on va vers l'avant. J'ai beaucoup de joueurs capables de jouer contre Lens, qui ne donne pas beaucoup de temps pour réfléchir."
La progression de son équipe : "Je savais déjà que vous alliez aimer cette phrase où je disais qu'on allait être plus forts en février. Là je vois que vous la faites passer en même temps que la galette des rois et vous voulez que l'équipe soit meilleure. Ce n'est pas 1+1=2. C'est un processus. L'équipe sera meilleure en février, en mars, en avril, en mai, en juin. Je suis une personne optimiste, le travail de mes joueurs va payer."
Ugarte : "Tout ça, c'est très normal, ce n'est pas facile de changer de club. Ce ne l'est pas pour un vétéran, pour un jeune, pour un joueur qui a déjà de l'expérience. Changer de pays, de langue… Chaque période d'adaptation est différente. Je vois qu'il va bien, il est un joueur d'équipe, impressionnant, avec une personnalité très forte. Je parle avec les joueurs, parfois, c'est superficiel, plus profond quand c'est nécessaire.
Je ne suis pas du tout inquiet, aucun de mes joueurs me donne d'inquiétude. C'est la vie d'un grand club. C'est un processus qui n'a rien à voir avec l'âge, mais avec le moment, les événements de ta vie ou différentes choses. Tous les joueurs recrutés, je les vois dans une phase d'adaptation qui est bonne. Même les joueurs U19 s'adaptent. C'est sans doute plus facile pour les Français, mais c'est normal."
Beraldo : "Il y a forcément un temps d'adaptation. Là-bas, c'est l'été, ici, c'est l'hiver. Il va bien, il s'adapte. Il est très mature pour son âge. On est comme dans une famille, dans ce club. On essaie de faire en sorte que son adaptation soit rapide. Il est un joueur différent, avec des qualités différentes."
Mayulu : "Je suis au dernier échelon. Je bénéficie du travail qui a été fait avant. D'abord le fait de détecter les joueurs et de les former. Tous les entraîneurs des catégories inférieures rentrent en ligne de compte dans ce processus. C'est très important d'être très calme avec les jeunes joueurs. Ils arrivent, se forment, s'améliorent. Il y a un nutritionniste qui les aide, ils peuvent accéder à la salle de sport, ils doivent continuer à suivre leurs cours au lycée… Il faut rester dans une atmosphère tranquille. Je sais que vous n'allez pas forcément m'écouter, mais c'est facile de perdre la tête avec la famille, l'entourage… C'est merveilleux pour moi d'avoir des joueurs de ce niveau."