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Le Bayern Munich mate Manchester United, Benfica se saborde à la maison

Sébastien Gente
Le Bayern a gagné et fait le spectacle.
Le Bayern a gagné et fait le spectacle. AFP
Le choc de la soirée a tourné à l'avantage du Bayern, qui a quand même tremblé face à Manchester United dans son Alianz Arena. Benfica, victime d'un début de match cauchemardesque, a coulé à pic devant ses supporters, tandis que Naples a eu de la réussite.

Bayern Munich 4-3 Manchester United

Le gros match de la soirée, pas la peine d'expliquer pourquoi. Mais en début de partie, la montagne semble accoucher d'une souris, les Bavarois manquant clairement de tranchant contre des Mancuniens venus pour défendre. Sauf qu'à la demi-heure, Kane remet pour Sané qui fait feu mollement, sauf qu'Onana = Arconada et 1-0 Bayern. 

5 minutes plus tard, un déboulé de Musiala permet à Gnabry de doubler la mise et met KO MU. Les Anglais se retiennent de sombrer, mais à la pause, le mal est fait. Du moins le croit-on. Car Rasmus Hojlund ne met que quelques minutes à réduire la marque, et un nouveau match commence. Mais il ne dure que quelques minutes, puisque MU concède un pénalty plus qu'évitable, que Kane s'empresse de convertir (54e). 

Cete fois, Manchester ne reviendra pas, et l'on est plus proche de voir le Bayern saler l'addition. Mais cela n'arrive pas, et en fin de match, Casemiro relance le suspense et fait trembler l'Allianz Arena. C'est à Mathys Tel, sorti du banc, que revient l'onneur d'enfin enterrer les espoirs mancuniens dans les arrêts de jeu, sauf que Casemiro à d'autres plans et double la mise, sans conséquence pour les Bavarois, qui remportent le match frisson du soir. 

Arsenal 4-0 PSV

Retour en Ligue des Champions pour Arsenal, qui voulait fêter cela avec une victoire. Et il ne faura que sept minutes à Bukayo Saka pour lancer la fête. Non content de marquer, il se mue en passeur pour Trossard qui fait le break. Malgré la pluie, les Gunners dominent en patrons, et rallongent la sauce grâce à Gabriel Jesus. Et peuvent rentrer sereins aux vestiaires. 

Forcément, le rythme n'est pas élevé au retour des vestiaires. Il faudra attendre une vingtaine de minutes pour voir Martin Oodegard saler la note de loin. Une victoire totalement logique pour une équipe ambitieuse cette saison. 

Benfica 0-2 Salzbourg

L'année du Benfica ? Chaque année, le club portugais semble se rapprocher du sommet. Un état de fait qui a failli être balayé en 3 minutes, quand Trubin a boxé sans raison Pavlovic, sauf que Konaté a envoyé le pénalty dans les nuages. Mais le Benfica se saborde littéralement avec une main de Silva sur sa ligne. Rouge pénalty, 1-0 Salzbourg au quart d'heure de jeu. Incroyable. 

Le réveil lisboète vient d'Angel di Maria, qui tente nombre de frappes, même sur corner direct, sans succès. Le Benfica n'y est pas, et une nouvelle cagade défensive voit les Autrichiens se présenter à 3 devant les buts portugais, pour voir Oskar Gloukh doubler la mise au retour des vestiaires. Alexander Schlager fait un plus le spectacle dans les cages de Salzbourg, et l'affaire est fête. On ne pouvait imaginer meilleur début pour les visiteurs, contre une équipe à côté de ses pompes.

Sporting Braga 1-2 Naples

Un homme sur le grill ce soir : Rudi Garcia. Déjà contesté, le technicien ne pouvait se permettre de rentrer bredouille du Portugal. Message reçu par ses joueurs, notamment Osimhen qui trouve rapidement le poteau, et ensuite la barre, alors que les Napolitains dominent la rencontre. Une domination qui va crescendo, mais il faudra attendre les arrêts de jeu pour voir di Lorenzo enfin percer le coffre fort portugais. 

Naples a dû cravacher.
Naples a dû cravacher.Flashscore / StatsPerform

Les locaux n'ont pas le choix, et se ruent à l'attaque, mais tout est trop imprécis. Naples se regroupe en défense, joue le contre, mais ne parvient pas à doubler la mise pour se mettre à l'abri. Et ce qui devait arriver arriva, à force de reculer, Naples voit Bruma couper la trajectoire de la tête pour égaliser peu avant la fin. C'est fini, sauf pour Diakaté qui fusille son propre gardien et laisse Naples repartir avec trois points et la tête de Garcia sur ses épaules, alors que Pizzi touchera le poteau dans les ultimes secondes.

Real Sociedad 1-1 Inter

Dans une ambiance exceptionnelle, la Sociedad a commencé à 1000 à l'heure, avec un poteau puis une ouverture du score en moins de 5 minutes, le tout signé Brais Mendez. Le tout favorisé par une cagade de Bastoni. Coup dur pour l'Inter pourtant en grande forme, et qui ne parvient pas à relancer la machine. Les locaux sont souverains, et 1-0 à la pause, ce n'est vraiment pas cher payé. 

La pression basque s'intensifie et manque de faire dérailler Nicolo Barella, qui est sauvé par la VAR. Mais si l'Inter lance ses jokers, l'efet est limité. Sorti du banc, Marcus Thuram croit au miracle, mais le drapeau levé le ramène à la réalité. La Real croit tenir le match, mais Lautaro Martinez trouve enfin la faille peu avant la fin, et ramène un point franchement pas représentatif de la physionomie de la rencontre. Il y aura des regrets à la Reale Arena. 

France gouvernement

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