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Manchester City - Real Madrid : les notes de la rédaction Flashscore

Ce mercredi soir, la leçon a été donnée par Guardiola.
Ce mercredi soir, la leçon a été donnée par Guardiola. AFP
Découvrez ci-dessous les notes attribuées aux acteurs de cette demi-finale retour à l'Etihad, qui ont permis une rencontre époustouflante, pour ne pas dire plus...

Manchester City 

Titulaires : Ederson (6) - Walker (7), Dias (7), Akanji (7)- Rodri (8), Stones (8), Grealish (7), Gundogan (7), De Bruyne (8), Bernardo Silva (9) - Haaland (7)

Entraîneur : Guardiola (10)

Real Madrid 

Titulaires : Courtois (8) - Carvajal (4), Militão (2), Alaba (5), Camavinga (2)- Valverde (2), Kroos (2), Modric (2) - Rodrygo (3), Vinicius Jr. (3), Benzema (3)

Entraîneur : Ancelotti (1)

Le MVP : Josep Guardiola  

Le match réalisé par ses hommes a été une masterclass de A à Z. Le plan de jeu, l’animation, l’envie, le football… tout y était ce mercredi soir à l’Etihad Stadium côté Manchester City. L’entraîneur espagnol a su corriger les erreurs du match aller et a permis à ses joueurs d’être dans les meilleures conditions pour développer un football qui nous a rappelé le Barça de 2011. Avec une confiance au rendez-vous, les Citizens ont asphyxié le Real Madrid, les obligeant à se replier durant une bonne partie du temps dans leurs 20 mètres avant le premier but. 

Guardiola est en passe de réaliser son deuxième triplé de sa carrière et avec une performance comme celle-ci face à ce Real Madrid, ce sera amplement mérité. 

Le Patron : Bernardo Silva 

Le Portugais a permis aux siens de mener 2-0 à la mi-temps et de tirer un trait définitif sur la confrontation après 45 minutes. Dans le jeu, ce soir, c’était un énormissime Bernardo Silva. Eduardo Camavinga au marquage sur lui, n’a pas vu le jour durant plus d’une heure de jeu, jusqu’à ce que Carlo Ancelotti ne décide de le repositionner au milieu de terrain. 

Sur le premier but, il prend magnifiquement l’espace laissé par un Modrić et un Kroos apathiques dans la surface, avant de placer une frappe imparable. Sur son deuxième but, il est assez intelligent pour bien sentir le coup et être là, au bon endroit, au bon moment, pour reprendre un deuxième ballon de la tête et la mettre au fond. 

La bonne surprise : John Stones 

Est-ce qu'on s'attendait réellement à une telle prestation de sa part ? Certainement pas. Pourtant, depuis plusieurs semaines, il prouve sa valeur et son importance au sein de l'animation de jeu pensée par Guardiola. Mais ce mercredi soir, il a été tout simplement exceptionnel. En première période notamment, il a été l'un des grands artisans de la maîtrise technico-tactique de son équipe.

À la manière d'un stoppeur fut un temps, John Stones s'est montré impérial. Comme une impression d'assister à l'histoire devant nos yeux, en partie grâce à lui. S'il parvient à réitérer ce genre de performances lors de la finale, il risque de faire très mal à l'animation sans-ballon de l'Inter. Chapeau.

La déception : Real Madrid 

Ou comment faire un non-match le jour le plus important de la saison. Les Madrilènes sont passés totalement à côté de l’échéance. Étouffés dans leur camp, incapables de sortir le ballon proprement, avec des tauliers comme Modrić et Kroos à la rue durant les minutes qu’ils ont disputées et un groupe apathique durant les 45 premières minutes - voir apeurés -, les tenants du titre sont éliminés au stade des demi-finales et c’est mérité. 

Pour la première fois depuis bien longtemps, il semblerait que le Real Madrid se soit fait avoir par ses émotions. Nous n’y étions pas habitués, mais ils sont bel et bien humains. La magie de cette équipe qui nous a tant fait rêver l’an passé s’est éteinte ce mercredi 17 mai 2023, mais nul doute que la flamme sera ravivée, de nouveau, très rapidement.

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