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"On va rester focus sur le match qui arrive", Upamecano ne veut pas alimenter la polémique

Flashscore France
Upamecano face à la presse ce mardi.
Upamecano face à la presse ce mardi.FRANCK FIFE/AFP
Après Lucas Chevalier, c'est Dayot Upamecano qui s'est présenté face à la presse ce mardi à Clairefontaine, à deux jours du match contre Israël au Stade de France.

Vincent Kompany : "Ça se passe très bien avec mon coach au Bayern. Je suis très content qu'il soit là, il me fait progresser. Je suis très reconnaissant envers lui. Je sens que comparé à la saison dernière, j'ai fait beaucoup de progrès. Il me fait beaucoup de vidéos et d'analyses. Ça m'aide beaucoup et on le voit sur le terrain."

Mbappé : "Inquiétude ? Non. Il ne faut pas oublier ce qu'il a fait pour l'équipe de France. On manque un peu de reconnaissance envers lui. J'espère le revoir très vite. Il ne faut pas oublier que c'est notre capitaine.

J'avais dit en début de saison qu'il y avait beaucoup de matchs et qu'on est des êtres humains. L'aspect mental compte beaucoup pour nous les footballeurs. Je ne vais pas rentrer dans les détails. C'est notre capitaine, j'espère le revoir très vite, il est très important pour nous.

C'est un super joueur, un ami aussi. Je sais de quoi il est capable. Comme j'ai dit, j'espère qu'il va revenir. J'espère qu'il va reprendre le brassard."

France - Israël : "Je suis juste là pour jouer. Depuis que je suis tout petit, j'aime jouer au football. Hier, c'était le 11 novembre. J'aime la paix, j'espère qu'un jour on la retrouvera, dans chaque pays.

Je peux comprendre pourquoi les gens ne veulent pas venir. C'est leur choix. On va continuer, on va se battre sur le terrain.

On va rester focus sur le match qui arrive. Désolé, je n'ai pas vu ce qui s'est passé à Amsterdam."

Koundé : "J'ai joué contre lui en Ligue des champions. Je le sens en confiance, j'espère que ça va continuer comme ça. C'est aussi un leader, il commence à avoir beaucoup d'expérience. Je lui souhaite le meilleur."

La concurrence : "J'ai toujours aimé la concurrence depuis tout petit, j'adore ça. Je suis allé très jeune à Salzbourg, j'avais 16 ans. Je suis arrivé là-bas, je ne parlais pas un mot d'allemand. Je n'ai pas peur de la concurrence, de ce qui va arriver. Je suis là pour jouer et j'espère jouer."

Coman et Olise : "Coman, je ne l'ai jamais vu douter. Je l'ai toujours vu sûr de lui. En ce moment, il a un niveau incroyable. Il est performant à chaque match. Qu'il soit sur le banc ou pas, c'est le Kingsley Coman qu'on attend tous. Olise, c'est aussi un joueur incroyable, qui a beaucoup de maturité. Je pense que ça va être un grand joueur."

Son rôle : "Je reviens d'une sélection où j'étais blessé. J'essaie de réintégrer le groupe. Je préfère prendre la parole sur le terrain plutôt qu'en dehors. Quand je suis sur le terrain, je suis plus à l'aise depuis tout petit. Mon but en tant que défenseur, c'est de prendre la parole et c'est ce que je vais faire."

Olise : "Il nous a mis un coup franc il n'y a pas longtemps. Il est heureux à chaque match. Je le vois très heureux et je sens qu'il progresse. Je suis très heureux de pouvoir jouer avec lui au Bayern et en équipe de France. C'est un privilège pour moi de jouer avec lui. Je sais qu'il va devenir un très grand joueur. Ce n'est pas un poids pour lui (le maillot). Je le vois à l'entraînement, il y avait des moments où je devais défendre sur lui et ce n'est pas facile! Le poids du maillot, ça ne lui fait rien."

Le calendrier : "Pourquoi pas aller jusqu'à la grève. J'avais dit la dernière fois qu'il y avait beaucoup trop de matchs. C'est un sujet dont on doit parler entre nous. Pour moi, il y a trop de matchs et j'espère qu'ils vont le comprendre un jour."

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