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Seconde finale en deux ans pour la Fiorentina qui retente sa chance en tant que favorite

Raffaele R. Riverso - Flashscore Italie
La Fiorentina lors de la demi-finale.
La Fiorentina lors de la demi-finale.Getty Images via AFP
L'équipe violette est attendue à Athènes par l'Olympiakos après la déception du printemps dernier, lorsque West Ham avait gagné.

Au cours de l'année écoulée, la Fiorentina a pensé chaque jour à la finale de C4. Mais pas celle qu'elle jouera mercredi soir contre l'Olympiakos, mais celle qu'elle a perdue en juin dernier contre West Ham.

Une défaite d'autant plus difficile à encaisser qu'elle est intervenue dans les dernières minutes d'un match très serré qui, comme on le dit souvent dans ces cas-là, s'est joué sur un détail qui, malheureusement pour la Viola, est tombé du côté anglais, envoyant la coupe à Londres.

Et c'est justement avec la blessure encore ouverte que les garçons de Vincenzo Italiano aborderont la deuxième finale en douze mois avec l'objectif d'améliorer ce qu'ils ont fait, mais conscients de leurs propres mérites : "Nous profitons de ces moments qui n'arrivent pas tous les ans, mais nous avons eu la chance et le bonheur que cela se reproduise", a admis Cristiano Biraghi, au cours de la journée des médias.

La cerise sur le gâteau

Après deux années passées à jouer en Europe, la conscience l'emporte sur la surprise : "Nous sommes calmes, sereins et concentrés. Nous savons qu'il y a beaucoup d'attentes et c'est normal car c'est la deuxième année consécutive que nous la jouons et c'est quelque chose d'extraordinaire. Nous avons donné beaucoup de joie à nos supporters, mais nous espérons maintenant leur donner la cerise sur le gâteau".

Le capitaine des Mauves est convaincu que ce qui s'est passé contre West Ham peut les aider à surmonter les moments difficiles d'une finale : "Est-ce le bon moment pour ramener un trophée à la maison ? L'année dernière, c'était le cas. Nous avons essayé à l'époque et nous essaierons encore mercredi. Et j'espère qu'avec l'expérience que nous avons acquise l'année dernière, nous pourrons faire mieux".

Un statut de favori

Contrairement à la finale de la saison dernière, la Fiorentina abordera cette année le match avec les faveurs des pronostics, même si l'ambiance à l'Agia Sophia d'Athènes sera extrêmement chaude, avec des supporters grecs qui – ne pouvant pas compter (du moins en théorie…) sur plus de supporters que la Viola à l'intérieur du stade – tenteront de faire valoir le facteur "domicile" en mettant le feu aux rues de la ville, dans le sens sportif du terme.

Sans oublier qu'en face d'eux, il y a une équipe capable d'éliminer le grand favori du tournoi, Aston Villa d'un spécialiste des coupes d'Europe comme Unai Emery, qui, pas par hasard, a réussi à conquérir la quatrième place de la Premier League. "L'Olympiakos vient d'un parcours passionnant contre des équipes de valeur. Ils arrivent avec confiance et sont très organisés. Nous ne devrons pas faire d'erreurs, les détails feront la différence", a tenu à souligner Vincenzo Italiano juste après le match contre Cagliari.

Et il ne fait aucun doute que pour l'entraîneur violet, cette deuxième finale en douze mois sera d'autant plus spéciale qu'elle pourrait être la dernière sur le banc du club toscan : "Tous les entraîneurs ont déjà parlé à leur club, je l'ai déjà fait".

Mais ce n'est pas le moment de parler de son avenir, ni de penser à soi : "Concentrons-nous sur la finale et ne nous laissons pas distraire, ensuite nous tirerons des conclusions. J'espère gagner et donner cette joie à notre peuple et aussi aux garçons qui trouvent de l'énergie jour après jour depuis des années".

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