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Jean-Louis Gasset : "On a mérité de garder l'espoir d'être encore en vie pour le match retour"

Julie Marchetti
Jean-Louis Gasset à Lisbonne.
Jean-Louis Gasset à Lisbonne.AFP
Ce mercredi après-midi, Leonardo Balerdi et Jean-Louis Gasset ont répondu aux questions des journalistes avant le 1/4 de finale retour de Ligue Europa contre Benfica.

Leonardo Balerdi 

Renverser le match : "Je pense qu'on a fait un très bon match. Mes coéquipiers sont prêts. Cette semaine, on s'est très bien entraînés. On s'est concentrés. Je suis motivé. On peut le faire". 

Le Vélodrome : "Le public donne tout pour le club. Ils sont toujours là. Cela me donne l'envie de donner plus sur le terrain". 

La clef de la réussite : "On doit jouer les 90 minutes. Il faut qu'on soit aussi attentifs. Ce genre de match se joue aux petits détails". 

La dernière demi-heure à l'aller : "Ils ont commencé fort. Nous on était moyens. Après on a compris ce qu'il fallait faire et cela nous a donné de l'espoir. Il faut maintenir ce qu'on a fait pendant 30 minutes sur toute la longueur du match". 

Les forces de Benfica : "Di Maria en est un. Les coups de pied arrêtés et leur jeu de passes en sont d'autres". 

Jean-Louis Gasset

Ce qu'il faut faire : "On a 90 minutes pour marquer un but et peut-être une prolongation pour l'emporter. Il faut trouver l'équilibre entre attaquer, les faire douter et avoir un oeil très attentif, ce qu'on a pas eu au match aller. Ils ont des joueurs forts sur la contre-attaque. Il va falloir être présent dès la perte de balle".

Le travail avec les attaquants : "La confiance chez un attaquant c'est cyclique. A part Pierre-Emerick qui marque souvent, les autres ont le rôle de nous aider le plus tôt possible Malheureusement, on a perdu Sarr, mais il faut que les autres prennent le relais et qu'on n'attende pas toujours le même joueur. C'est par le travail et la confiance que cela arrive". 

L'état d'esprit : "Mes joueurs sont conscients. Nous devons emmener notre public avec nous. A nous d'être à la hauteur et de faire un bon début de match avec de l'efficacité". 

Les supporters : "J'ai toujours le même discours. On peut regarder un match en faisant la fête. Les Portugais seront contents que leurs supporters seront-là". 

Risque de surjouer : "On l'a déjà fait. On a joué ensemble le Shakhtar. Ce n'est pas la peine d'être nerveux. Agressivité ne veut pas dire agression. On est concentrés et conscients qu'on a un but de retard. On joue contre le 1/4 de finaliste de la Ligue des champions de l'an passé".

Le scénario idéal : "Un but ne suffira pas. On va essayer au maximum. C'est la sécurité défensive qu'il faut travailler, et on l'a fait. On va emboiter cela avec notre caractère offensif. Il ne faut pas être spectateur mais acteur de la rencontre". 

Emran Soglo : "Il est dans le groupe. Il a joué au courage. Il avait la capacité d'assumer. Il l'a toujours".

Les défaites et l'état d'esprit : "On est toujours positifs. Un match de Coupe d'Europe reste un match de Coupe d'Europe. Ma dernière impression est qu'à l'heure de jeu contre Benfica, on a fini le match avec une équipe improbable. On est resté ainsi, et tout ne s'est pas mal passé. On a mérité de garder l'espoir d'être encore en vie pour le match retour. Si on fait comme on a fini, dans un match de Coupe d'Europe, on va faire ce qu'il faut". 

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