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Le Napoli célèbre son titre par une victoire signée Osimhen face à la Fiorentina

Flashscore, avec AFP
Les Napolitains en fête.
Les Napolitains en fête.AFP
Naples a étrenné dimanche son nouveau titre de champion d'Italie dans un stade Diego-Maradona en fête par une courte victoire sur la Fiorentina (1-0) grâce à un penalty de Victor Osimhen.

L'avant-centre nigérian, déjà auteur du but ayant mathématiquement assuré le scudetto napolitain jeudi à Udine (1-1), s'est fait pardonner un autre penalty manqué en début de seconde période. Il conforte sa place de meilleur buteur avec ce 23e but, devant Lautaro Martinez (Inter, 19).

Dans un stade encore une fois à guichets fermés (environ 55.000 spectateurs), l'équipe de Luciano Spalletti s'est mise au diapason de l'ambiance festive en renouant avec le succès à domicile - cela ne lui était plus arrivé depuis la mi-mars.

Osimhen, qui ne voulait pas être celui qui aurait pu gâcher la fête, n'a laissé personne lui prendre le ballon quand s'est présenté le second penalty de la soirée, obtenu par Khvicha Kvaratskhelia. Il a tiré sur sa droite, comme la première fois, mais le portier florentin Pietro Terracciano n'a cette fois pas réédité son arrêt du premier penalty et a laissé le Nigérian lancer les festivités.

La remise du trophée n'aura lieu que le 4 juin, après l'ultime journée, mais le stade Maradona n'a évidemment pas attendu pour fêter le titre dans un festival de couleurs.

"Émotion unique"

Avec du bleu, assurément, partout autour du stade et sur les gradins. Sur les maillots de toutes les époques arborés par les tifosi, portant les noms des glorieux anciens - l'incontournable Maradona, bien sûr, mais aussi Mertens - et de nouveaux héros - Osimhen, Khvaratskhelia, Di Lorenzo...

Et pour l'entrée sur le terrain des nouveaux champions d'Italie, encore du bleu et blanc dans un virage, mais aussi les couleurs du scudetto et de l'Italie - vert, blanc, rouge - dans l'autre. Et du violet à la sortie des vestiaires pour les Napolitains, accueillis par une haie d'honneur de la Fiorentina.

La fête s'est prolongée après le coup de sifflet final avec un tour d'honneur, avant une célébration promise haut en couleurs par le propriétaire du club, Aurelio De Laurentiis, producteur de cinéma à la tête du club depuis 2004. "C'est une émotion unique, surtout pour le petit... On a largement mérité ce titre et on est là pour dire merci à tout le monde", a expliqué à l'AFP un supporter, Luigi, 45 ans (il ne souhaite pas donner son nom de famille), venu au stade avec son fils Ciro, 10 ans, vêtu d'un maillot du Napoli.

Au milieu de toutes ces festivités, il y avait quand même un match à jouer, à l'enjeu plus que modéré entre des Napolitains déjà champions et une Viola (8e) n'ayant plus guère de chance de décrocher un strapontin européen.

La Fiorentina a montré plus d'allant au début, mais Pierluigi Gollini, titularisé dans la cage napolitaine à la place d'Alex Meret, s'est interposé devant Luka Jovic (15e, 18e). Mais Naples a peu à peu pris le contrôle du match et logiquement pris l'ascendant, emmené par l'envie d'Osimhen et de Kvaratskhelia, entré peu avant la pause après la blessure visiblement sérieuse d'Hirving Lozano.

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