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Sérieux, le PSG handball signe une nouvelle victoire européenne contre Fredericia

Julie Marchetti, au stade Pierre de Coubertin
Elohim Prandi a marqué 9 buts ce mercredi.
Elohim Prandi a marqué 9 buts ce mercredi.@PSGhandball
Ce mercredi soir, le Paris Saint-Germain handball a reçu l'équipe danoise de Fredericia pour disputer sa 4e journée de Ligue des champions. En forme et appliquée, l'équipe locale a délivré une belle partie, soldée par une victoire 38-30.

PIERRE DE COUBERTIN -  Malgré la météo très pluvieuse, certains supporters se sont déplacés ce soir pour soutenir leur équipe. Et il faut dire que le PSG en avait besoin. 5e au classement de la Ligue des champions après 2 victoires glanées de justesse et une défaite en Hongrie, les hommes de la capitale se devaient de l'emporter avec un peu plus de panache. Ce qu'ils ont fait. Face aux Danois de Fredericia, les Parisiens ont mené du début à la fin. Précis en attaque et solides en défense, ils ont pu s'imposer 38-30.

Match maîtrisé ?

Avec un 7 complémentaire et plutôt habituel, le PSG a démarré fort avec trois buts d'avance (Kent-Robin Tonnesen/Luc Steins (x2)). Totalement dompté par la défense locale, Fredericia s'est aplati dès le début du match. Très efficaces en attaque, les Parisiens n'ont affiché aucun souci de précision et ont poursuivi sur leur dynamique pour conserver l'écart (5-1, 7e).

Pris dans l'engouement général, les hommes de Raul Gonzalez ont tous été cherchés leur but, pour le plus grand plaisir des fans. Ainsi, Kamil Syprzak, David Balaguer et Elohim Prandi se sont également illustrés (7-3, 12e). Dans la cage, Jannick Green a eu plus de mal lors des tentatives danoises. Mais, peu cadrées, elles n'ont pas inquiété les Parisiens pour autant.

Après le quart d'heure de jeu, les choses sont allées un peu moins en faveur des locaux. Moins concentrés, ils ont laissé les Danois reprendre du terrain (11-9, 17e). Et au bout de 20 minutes, ils avaient égalisé (12-12). Suivi jusqu'à la mi-temps (18-15), le PSG a tout de même pu bénéficier de la qualité des arrêts d'Andreas Palicka, lesquelles ont limité la trop grosse remontée adverse. 

Domination logique

En seconde période, Paris est reparti sur les mêmes bases que précédemment. Plus décisif que son concurrent, Palicka a offert des arrêts de belle volée, tandis que Prandi (9 buts) et Tonnesen s'en sont donné à coeur joie devant le but danois. Plus en point qu'à la fin de la 1re part du match, le club a donc réussi à tenir ses rivaux à distance et ce avec trois points d'écart (22-19, 40e). 

Le jeu parisien a par conséquent tenu après cela. Malgré quelques imprécisions notables face à Fries, l'équipe a fait preuve d'une vraie solidité. Cela lui a permis de même creuser l'écart (30-26, 19e) et complètement prendre la main. 

La fin du match a été totalement à l'avantage des Parisiens. Sérieux jusqu'à la dernière seconde, les locaux ont pu triompher et célébrer leur avantage considérable sous une standing ovation.

France gouvernement

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