Inter - Benfica (3-3) : les notes de la rédaction de Flashscore

Inter

Onana (4)

Darmian (5) Acerbi (7) Bastoni (6)

Dumfries (5) Barella (7) Brozovic (7) Mkhitaryan (6) Dimarco (7)

Martínez (7) Dzeko (6)

Benfica

Vlachodimos (4)

Gilberto (4) A.Silva (4) Otamendi (4) Grimaldo (6)

Luis (5) Chiquinho (4)

J.Mário (4) R.Silva (5) Aursnes (5)

G.Ramos (3)

Le MVP : Federico Dimarco

Ses deux passes décisives font définitivement basculer le sort de ces 1/4 de finale alors que Benfica rêvait encore de remonter au score. La suite a d'ailleurs prouvé que le SLB aurait pu renverser la rencontre. Cependant, l'ailier gauche nerazzurro était passé par là. Un centre parfait pour Lautaro Martínez pour remettre l'Inter devant puis une passe entre les lignes pour le Tucu Correa pour le 3-1. 

Le Patron : Francesco Acerbi

Si l'Inter a baissé en vigilance en fin de match alors que tout était plié depuis longtemps, le défenseur central a sorti un match solide avec 3 interceptions, 4 dégagements et 7 duels remportés sur 7 dont 5 dans les airs, preuve de sa supériorité dans ce domaine. 

La Bonne surprise : Lautaro Martínez

Certes, il a des références et il est champion du monde. Mais l'Argentin était tout de même attendu au tournant pour un match de cette envergure. Le ballon qu'il donne à Nicolò Barella se transforme en passe décisives après l'enchaînement divin du milieu de terrain sur l'ouverture du score et c'est lui qui, à bout portant, expédie l'Inter en 1/2 finale en assommant les Aigles. 

La Déception : Roger Schmidt

Après la défaillance collective de l'aller, un regain était attendu de la part du coach du SLB. Las, son équipe a subi et de nouveau encaissé un but de Barella en première période. Au niveau offensif, il n'y a rien eu de notoire avant le coup franc d'Álex Grimaldo (30'). L'égalisation de Fredrik Aursnes (37') aurait dû relancer les Aigles et Schmidt a voulu insuffler de la vitesse devant avec David Neres, dans une sorte de redite de l'aller. Le résultat nul est méritoire mais il donnera aussi beaucoup de regrets car en définitive, l'impression qui restera sera celle d'un Benfica qui a manqué son rendez-vous.