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Interview Flashscore - Sergio Akieme (Reims) : "Dès le premier jour, Luka Elsner nous a transmis sa confiance"

Sergio Akieme contre Marseille.
Sergio Akieme contre Marseille.AFP/Flashscore
Arrivé à Reims en février dernier, Sergio Akieme s'est imposé au poste de latéral gauche. Buteur contre l'OM (2-2), le Madrilène passé par le Barça B a évoqué pour Flashscore son adaptation au football français, le changement d'entraîneur à l'intersaison et dit le plus grand bien de Valentin Atangana, la révélation champenoise de ce début de saison.

Flashscore : Vous êtes arrivé à Reims la saison dernière où vous avez débuté sous les ordres de Will Still. Cet été Luka Elsner est arrivé. Quelles sont les évolutions du jeu de l'équipe ?

Sergio Akieme : Chaque entraîneur a sa forme de voir le football. Will Still voulait toujours mettre beaucoup d'intensité dans le jeu, beaucoup d'énergie dans tout ce que nous faisions. Nous avons eu un moment difficile et le championnat ne s'est pas terminé de la meilleure manière pour nous. Luka Elsner est donc arrivé et, dès le premier jour, il nous a transmis sa confiance et son idée de jeu afin que nous sachions rapidement ce qu'il désirait et dans quel ordre. Pour le moment, cela se traduit sur le terrain. 

Avant d'évoluer avec le Barça B, vous avez débuté votre formation à Getafe puis au Rayo Vallecano, deux clubs aux vertus différentes des Blaugranas. Cet enseignement vous a-t-il servi au moment de découvrir le football français ? 

Je crois avant tout que cela m'a fait grandir comme joueur. Tout ce qu'on m'a appris à Getafe et au Rayo m'a forgé, a développé mon expérience et fait la personne que je suis aujourd'hui. Je n'oublie évidemment pas mon passage à Barcelone mais aussi à Almería. Tout cela a fait que j'ai appris à m'adapter en toutes circonstances et cela se reflète en France. 

Le Stade de Reims est un club mythique en France. Quand vous êtes arrivé, avez-vous ressenti ce poids au sein du club et avec les supporters ? 

Quand je jouais à Almería, j'ai eu la chance de partager le vestiaire avec deux anciens joueurs du club, El-Bilal Touré et Dion Lopy. Tous deux m'ont beaucoup parlé en bien de Reims. Sincèrement, je peux avouer que tout correspond à ce qu'ils m'avaient décrit. Depuis que je suis arrivé, je vois que le club travaille très bien et cela se voit en ce début saison car nous avons commencé du bon pied. 

Keito Nakamura et Junya Ito sont probablement les joueurs les plus en vue du moment par leur rendement offensif. Quelle est leur relation avec le reste du vestiaire dans le travail quotidien à l'entraînement ?

Ce sont deux très bonnes personnes, d'excellents coéquipiers. La changement de culture a déjà été difficile pour moi alors que je suis un Espagnol qui arrive en France, alors imaginez ce que cela peut être pour des Japonais ! Franchement, ils se sont très bien adaptés à la Ligue 1 et c'est pour cela qu'il performe sur le terrain. Ma relation avec eux est vraiment bonne. 

Vous avez connu l'exigence énorme du FC Barcelone, surtout à l'égard de ses milieux de terrain. Un Rémois se révèle match après match à la suite d'un excellent Euro U19, c'est Valentin Atangana. Quelle marge de progression a-t-il ?

Dès que tu le vois, Valentin est un joueur qui te surprend. Quand tu le regardes jouer, tu notes tout de suite sa qualité, ses aptitudes, la manière dont il comprend le jeu, son sérieux. Il n'a que 19 ans et c'est déjà un joueur de top niveau. Oui, s'il continue comme ça, il ira loin. 

Pour terminer, question pétillante. Vous êtes un Espagnol à Reims alors il faut faire un choix : cava ou champagne ? 

(Rires) Je n'aime pas l'alcool ! Cela dit, j'ai évidemment goûté parce que je vis dans la capitale du champagne, mais pour être tout à fait honnête, je n'apprécie aucun des deux (sourire). 

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