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Juventus, gains en capital : le procureur demande 9 points de pénalité

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Fabio Paratici, Pavel Nedved et Andrea Agnelli.
Fabio Paratici, Pavel Nedved et Andrea Agnelli.Profimedia
Le procureur a aussi demandé une suspension de 20 mois et 10 jours pour Paratici, 16 mois pour Agnelli, 12 mois pour Nedved, Garimberti et Arrivabene, et 10 mois et 20 jours pour Cherubini.

Jour décisif à la Juventus. La Cour d'appel fédérale décidera aujourd'hui de la réouverture ou non du procès sur les gains en capital. Le parquet de Turin a en effet demandé à la Cour de révoquer l'acquittement du club de la Juventus et des huit autres clubs impliqués dans l'affaire : Sampdoria, Empoli, Parme, Gênes, Pescara, Pise, Pro Vercelli et l'ancien Novara. Dans le même temps, les positions des 52 dirigeants impliqués seront réexaminées, parmi lesquels Andrea Agnelli se distingue.

Le premier à prendre la parole a été le procureur général, Giuseppe Chiné, qui a demandé 9 points de pénalité pour les Bianconeri et une suspension de 20 mois et 10 jours pour Paratici, 16 mois pour Agnelli, 12 mois pour Nedved, Garimberti et Arrivabene, et 10 mois et 20 jours pour Cherubini

Par rapport aux autres clubs, pour lesquels ont été demandées les mêmes sanctions que lors du premier procès sportif qui s'est tenu au printemps, les demandes ont toutefois augmenté pour la Juventus, en raison de la plus grande gravité du comportement contesté par rapport à l'époque. 

Comme nous le disions, les demandes pour les autres clubs sont les mêmes que celles qui avaient été présentées en avril, soit : une amende de 195 mille euros pour la Sampdoria, 42 mille pour Empoli, 320 mille pour le Genoa, 338 mille pour Parme, 90 mille pour Pise, 125 mille pour Pescara, 23 mille pour Pro Vercelli et 8 mille pour le "vieux" Novara.

En ce qui concerne, en revanche, les sanctions pour les 52 dirigeants impliqués, si à ceux de la Juventus quatre mois de suspension ont été recquis par rapport au premier procès, pour les autres tout est inchangé. Parmi les autres demandes, on retrouve : 12 mois pour Ferrero, 8 mois et 20 jours pour Ienca de la Samp ; 11 mois et 15 jours pour Corsi d'Empoli ; 6 mois et 10 jours pour Preziosi, 10 mois et 15 jours pour Zarbano de Gênes.

Immédiatement après Chiné, ce fut au tour des avocats de la défense des clubs d'essayer de convaincre la Cour de leur thèse, qui, à ce stade, s'est déjà réunie en chambre du conseil d'où elle sortira avec sa décision. Si l'appel de l'accusation (demandant la révocation de la sentence d'acquittement) est maintenu, les éventuelles condamnations pourraient être connues dès aujourd'hui.

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