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Pellegrini a rejeté une offre d'Arabie Saoudite par respect pour les supporters du Betis

David Olivares
Pellegrini, lors d'un match avec le Betis
Pellegrini, lors d'un match avec le BetisProfimedia
L'entraîneur chilien considère qu'il n'y a aucune raison de quitter à mi-chemin un projet passionnant qu'il a commencé avec l'entité verdiblanca.

Manuel Pellegrini a précisé que l'argent n'était pas l'élément le plus important bien qu'il regarde ce qui se faisait au Moyen-Orient en matière de football.

"Il y a un programme qui, je l'espère, fonctionne. Plus le football se portera bien partout dans le monde, mieux ce sera pour l'activité. Mais j'ai ressenti une obligation, surtout envers les gens et les supporters du Betis, qui m'ont témoigné une affection permanente pendant toutes ces années, et je ne voulais pas abandonner un projet à mi-chemin parce qu'il n'y avait pas de raison. Je ne le regrette pas du tout, tout comme j'aurais aimé aller en Arabie Saoudite parce qu'ils sont en train de développer un football, tant du point de vue économique que sportif, qui s'annonce d'une grande importance".

Sans Chadli ni Abde

Par ailleurs, il a évoqué le match contre le Celta, il a évalué l'absence de Riad Chadli et d'Abde en raison de la Coupe d'Afrique : "Chadi et Abde sont déjà au Maroc, ils ont rejoint leur équipe nationale et ne figurent pas sur la liste des joueurs convoqués pour demain. Sabaly est resté ici à l'entraînement parce qu'il doit être là le 6, il se remet d'une longue blessure, il est déjà à 100%. Le règlement est clair, que les joueurs rejoignent ou non les équipes nationales, ils ont tous les droits de jouer dans une compétition aussi importante que la Coupe d'Afrique".

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