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Raphaël Varane : "Benzema, je suis en contact avec lui, il est à fond derrière les Bleus"

Eliott Lafleur
Mis à jour
Raphaël Varane s'est montré souriant aujourd'hui en conférence de presse.
Raphaël Varane s'est montré souriant aujourd'hui en conférence de presse.AFP
Cet après-midi, Raphaël Varane s'est présenté en conférence de presse afin de répondre aux questions des journalistes.

La Croatie : "La Croatie a montré de belles qualités, c'est une équipe solide et difficile à bouger. Ce n'est pas un hasard de la retrouver à ce niveau-là."

La comparaison Belgique 2018 - Angleterre 2022 : "Je suis d'accord avec cette comparaison. Le match contre l'Angleterre était un gros test. On a dû souffrir pour gagner. Je n'aime pas comparer 2018 et 2022, c'est un groupe qui évolue, quatre ans dans le foot, c'est une éternité. On arrive au niveau de la compétition où la moindre erreur peut coûter cher."

Compétition réussie ? : "L'objectif de départ est la gagne. On sait que c'est difficile. C'est déjà une satisfaction d'être en demi-finale, ce n'est pas une chose facile. Réussi à être dans le dernier carré est une belle performance, mais on est des compétiteurs et on veut la gagne."

Un excès de confiance ? : "On a assez d'expérience pour ne pas tomber dans ce piège. Si le Maroc est à ce niveau-là, ce n'est pas un hasard, c'est une équipe qui défend très bien. Ce qui nous attend va être très compliqué, il ne faut surtout pas tomber dans la facilité, se donner à fond et batailler jusqu'au bout."

La postérité de cette EDF : "On se rendra vraiment compte une fois que ça sera terminé. On a conscience que ce qu'on réalise depuis des années est quelque chose de grand. Les résultats sont là. Mais c'est difficile de prendre conscience de ce qu'on est en train de faire aujourd'hui."

Sa relation avec Deschamps : "Avec le coach, on se connaît de mieux en mieux. Il est toujours attentif aux moindres détails. Il sait ce qu'il attend de moi et je sais ce que je peux apporter au groupe, on est constamment dans l'échange. C'est une chance pour nous d'avoir autant de stabilité, d'avoir ce point de repère en sélection depuis tant d'années."

Benzema : "Je suis en contact avec lui, il est à fond derrière les Bleus."

Le Maroc : "Il y a une force collective qui se dégage. C'est une équipe solidaire. Ils ont des forces également en contre-attaque, sur coup de pied arrêté ou sur des actions individuelles. On s'attend à beaucoup d'adversité."

La condition physique des Bleus : "Physiquement, on est très bien. On a eu la chance d'obtenir la qualification au bout de deux matchs en poule, le troisième a permis de soit se reposer, soit garder du rythme."

Les cadres de l'équipe : "On sait fonctionner ensemble. Forcément, on essaye de transmettre ça au groupe. On sait dans quelle direction on doit aller. Pendant les matchs, on essaye de rebooster et de transmettre notre calme dans les moments chauds. On se répartit la façon de communiquer avec le groupe."

Le statut de favori : "Il a fallu s'adapter. Contre la Pologne, beaucoup de joueurs n'avaient pas joué le match d'avant contre la Tunisie, il a fallu se remettre dedans. Mais il n'y a pas de pression par rapport à l'adversaire. C'est le très haut niveau, il n'y a pas de différence par rapport à l'adversaire."

Griezmann : "Son rôle a un petit peu changé dans l'équipe, mais il a toujours les mêmes qualités. Il peut couvrir le terrain et un toujours beaucoup de justesse technique. Il peut réguler le tempo d'un match. Il a l'expérience et des qualités qui lui permettent d'avoir un rôle très important. Il est en pleine possession de ses moyens et apporte beaucoup au groupe."

Koundé : "Contre l'Angleterre, il a été solide. J'ai bien aimé sa façon dont il a animé son couloir, notamment dans sa communication avec Ousmane. Ce n'est pas son poste de formation, mais il est à l'aise et solide. J'essaye d'être proche de lui et de le soutenir. Il sait ce qu'il veut, il est déterminé dans ce qu'il fait."

Son discours à la mi-temps face à la Pologne : "On était un peu moins dans le match, peut-être parce que c'était le début d'une nouvelle compétition ou parce que ça arrive d'avoir des coups de moins bien. J'ai senti que l'équipe avait besoin d'être reboostée. Ce n'est pas quelque chose que j'ai travaillé, je le sens comme ça, je le fais. Si je sens que le groupe en a besoin, je le ferai. J'ai toujours assumé ma part de responsabilité."

Les primes de la FFF : "Tout est fixé à l'avance. On a conscience d'être importants pour le foot français, on sait l'impact que ça a, pas seulement en termes d'image, mais aussi au niveau économique. Mais, pendant la compétition, c'est secondaire, ce n'est pas un élément de motivation."

France gouvernement

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