Rongier : "On veut aller au bout en Coupe de France"

La forme de l'équipe : "Physiquement, c'est comme après chaque match. On sera en forme pour le match de demain. Mentalement, on ne peut pas gagner tous les matchs. Il faut repartir correctement dès demain."

La pression du Classique : "Pour moi, c'est positif, on est footballeur pour ce genre de matchs. Ce sera devant notre public avec une belle possibilité. Si on gagne, on sait ce que cela peut amener derrière."

Les axes de progression : "On a fait face à une belle équipe qui nous a bien analysés. Ils savaient comment on défendait et comment on pressait. Il faut savoir s'adapter face à une équipe qui sait trouver ces solutions. C'est avec ce genre de matchs que l'on grandit."

Ounahi : "Il s'acclimate très bien dans le vestiaire. Il est de bonne humeur. C'est un joueur avec beaucoup de qualité on l'a vu en championnat et à la Coupe du monde. Il va nous apporter son insouciance car il est jeune. Je pense qu'il va nous apporter beaucoup grâce à ses qualités."

Le PSG : "Un peu moins convaincant ? Ils gagnent des matchs, il y a de la qualité. On doit être concentré sur nous. On ne se dit pas que c'est un PSG en méforme, on doit bien jouer contre eux. On ne va pas changer notre manière de jouer, on va presser haut et éviter de se faire avoir sur les contre-attaques. On doit savoir garder un équilibre même si on joue haut."

Son association avec Veretout : "Physiquement, on est prêts, c'est à l'image de l'équipe. On est costauds dans la répétition des efforts. Le travail paye."

Mettre de l'intensité : "Oui, mais on ne va pas changer notre style, on va être à 200 % dans les duels et les courses. On va aller les chercher et il faudra faire attention sur les contres. On est prêts et on va essayer de les bouger."

Payet : "Depuis le début de la saison, il n'a pas joué autant que l'année dernière. Il aurait pu faire la tête, mais il a toujours été positif pour le groupe. Il n'est pas content de la défaite contre Nice, il n'est pas heureux d'être sorti à la mi-temps, mais il est positif dans le groupe."

Mbappé : "Je ne vais pas mentir, c'est une bonne chose pour nous qu'il soit absent, car on connaît sa qualité et sa vitesse. Surtout qu'on s'expose sur les contres et c'est une arme dans ce domaine. Il ne faut pas se dire que comme Mbappé n'est pas là, ils n'ont personne sur les contres. Mais oui, c'est une bonne chose pour nous qu'il ne soit pas là."

Le VAR : "Pour moi, on peut mettre la pression sur les arbitres, ce sont eux qui décident à la fin. Si on parle de la faute sur Kolasinac, je suis allé le voir. Lui me dit qu'il n'y a pas faute pour lui et qu'on lui a confirmé qu'il n'y avait pas faute. Je ne peux que dire ok et voir après qu'il s'est trompé."

L'enjeu côté parisien : "Je ne sais pas comme ils interprètent cette rencontre. Vous parlez des journalistes ou des supporters ? Nous, c'est un match extrêmement important. Je pense qu'ils se préparent bien, car ils savent qu'un Classique cela se gagne."

Le calendrier du PSG : "La meilleure façon pour eux de se préparer, c'est de faire un match abouti. Je ne m'attends pas à un match où ils auront le pied sur le frein. Je pense qu'ils mettront de l'intensité pour bien préparer le Bayern aussi."

L'objectif de l'OM : "On s'est fait sortir en Europe donc il reste la Coupe de France et le championnat. On veut se qualifier en Ligue des champions, mais on veut aussi aller au bout de la Coupe de France."

Sa progression : "J'espère encore pouvoir progresser."

L'importance du Classique : "Pas besoin de l'expliquer aux recrues, car à l'étranger aussi, il y a des gros matchs. Ils savent qu'un match comme celui-là cela se gagne."

Messi : "On n'a pas de plan anti-Messi, ce serait une erreur car ils ont de bons joueurs à tous les postes. On doit jouer comme d'habitude. On ne sait pas encore la compo et on ne sait pas si le coach va nous demander de faire quelque chose de particulier."

Le capitanat : "Pour moi, cela ne change pas grand chose. Je suis très fier de porter le brassard, mais avant les matchs on est plusieurs à parler et à donner de la voix. Quand Dimitri Payet n'est pas là, j'ai le brassard. Cela ne me pèse pas et j'essaye de rendre la confiance au coach. On est plusieurs à pousser l'équipe."