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Rudi Garcia s'accroche à l'Europe mais a besoin de Kvara (et d'Osimhen)

Raffaele R. Riverso
Rudi Garcia explique à Khvicha Kvaratskhelia ce qu'il attend de lui
Rudi Garcia explique à Khvicha Kvaratskhelia ce qu'il attend de luiProfimedia
A Braga, l'entraîneur français de Naples joue une bonne partie de sa tranquillité et il est impensable qu'il puisse s'en sortir sans la coopération de ses deux leaders d'attaque.

Khvicha Kvaratskhelia n'a pas marqué depuis le 9 mars. Pourtant, jusqu'au 19 août dernier, jour des débuts du champion d'Italie en Serie A, cela n'avait pas été un problème. Ni pour lui ni pour les autres.

Le geste flagrant par lequel il a publiquement demandé des explications à Rudi Garcia, qui l'avait remplacé au Marassi alors que Naples tentait de renverser le Genoa, a fait le tour du monde bien plus que le salut par lequel il a ensuite "pardonné" à son entraîneur avant de s'asseoir sur le banc de touche.

Garciaet le capitaine Di Lorenzo dans la salle de presse
Garciaet le capitaine Di Lorenzo dans la salle de presseAFP

Un changement que ni lui ni personne n'a compris, parce qu'à sa place est arrivé Alessio Zerbin et qu'il ne restait qu'un peu plus de deux tours d'horloge avant les arrêts de jeu.

Une poignée de secondes que "Kvaradona" aurait pu jouer même avec une jambe. Celle-là même qui, jusqu'à la saison dernière, lui suffisait amplement pour décider des matches.

"Kvaraskhelia a été conditionné par la blessure lors de la préparation. Je le veux serein et calme, il a hâte de marquer des buts mais la meilleure façon de le faire est de ne pas y penser et alors il peut aussi être décisif avec des passes décisives", a assuré Rudi Garcia à la veille du match d'ouverture de la Ligue des champions de ce soir.

Sans oublier que "Victor Osimhen n'a pas marqué lors des deux derniers matches. Espérons qu'il se débloque demain (aujourd'hui, ndlr)", a ajouté l'entraîneur qui, si les choses tournaient mal au Portugal, commencerait à courir le risque d'être licencié.

A Braga, en effet, Garcia joue une bonne partie de sa tranquillité et il est impensable qu'il puisse s'en sortir sans la collaboration de ses deux dirigeants : "le championnat est le championnat et la Ligue des champions est la Ligue des champions".

Une sorte d'exhortation à oublier ce qui s'est passé jusqu'à présent et à repartir de zéro dans la plus haute compétition européenne : "il y a un groupe à surmonter, il y a six matches et celui de demain soir compte beaucoup plus que le championnat. Nous sommes ici pour gagner. Nous arrivons avec détermination, avec ambition et aussi avec confiance".

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