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Daniil Medvedev apprécie sa rivalité avec Jannik Sinner malgré une nouvelle défaite

Medvedev tombe en quart de finale
Medvedev tombe en quart de finaleREUTERS / Andrew Kelly
Daniil Medvedev (28 ans) a déclaré qu'il appréciait sa rivalité croissante avec le numéro un mondial Jannik Sinner (23 ans) malgré la défaite en quart de finale de l'US Open mercredi.

Le Russe a affronté son rival à quatre reprises cette année, s'inclinant également en finale de l'Open d'Australie et en demi-finale du Masters de Miami, mais triomphant en huitième de finale à Wimbledon.

"Ces derniers temps, c'est un match difficile pour moi, mais comparé à certains matches que j'ai joués avec lui l'année dernière, lorsqu'il a commencé à me battre, j'ai eu l'impression de faire les bonnes choses. Je n'ai simplement pas réussi à bien les exécuter", a déclaré Daniil Medvedev, numéro cinq mondial, après sa défaite 6-2, 1-6, 6-1, 6-4.

"J'aime bien ça. Vous savez, les grandes rivalités comme celle-ci me poussent toujours à m'améliorer, et parfois je perds, parfois je gagne. J'essaierai d'être meilleur la prochaine fois, c'est la seule chose que je puisse faire.

Medvedev mène toujours dans leurs face-à-face 7-6, bien que Jannik Sinner ait remporté six de leurs sept derniers affrontements.

"C'est l'un des meilleurs joueurs du monde, et même le meilleur, et il le mérite", a ajouté Medvedev.

"C'est un joueur difficile à affronter. Il sent bien le jeu. Il choisit souvent le bon coup au bon moment.

"C'est là que j'aime jouer contre des joueurs comme lui, parce que c'est là que ça devient très serré, que chaque point compte".

Medvedev a déclaré qu'il pensait qu'une finale à l'Open d'Australie, un quatrième tour à Roland-Garros, une demi-finale à Wimbledon et un huitième de finale à Flushing Meadows signifiaient qu'il avait vécu une "assez bonne" année en Grand Chelem.

Le joueur de 28 ans, dont la victoire à l'US Open en 2021 reste son seul titre majeur, a déclaré qu'il continuerait à travailler dur pour combler l'écart avec les meilleurs joueurs du jeu, même si leurs noms ont changé depuis le début de sa carrière.

"Il y a toujours eu des durs à cuire", a-t-il déclaré."Avant, c'était Rafa (Nadal), Roger (Federer), Novak (Djokovic) ; maintenant, c'est Carlos (Alcaraz), Jannik et d'autres.

"Il suffit de s'entraîner dur, d'essayer d'améliorer son jeu et de tenter de les battre."

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