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Sans difficulté, Carlos Alcaraz écarte Arnaldi pour accéder en 1/4 de finale de l'US Open

Alcaraz, poing serré, regarde son équipe après un point remporté.
Alcaraz, poing serré, regarde son équipe après un point remporté. AFP
L'Espagnol s'est facilement imposé lundi face à Matteo Arnaldi (6-3, 6-3, 6-4) en 1h59.

Sûr de ses forces, Carlos Alcaraz, tenant du titre à Flushing Meadows, a déroulé son meilleur tennis lors de ce 8ᵉ de finale de l'US Open face à l'Italien Matteo Arnaldi. L'Espagnol verra les quarts de finale où il affrontera Jannik Sinner ou Alexander Zverev

Il ne fallait pas tarder pour le numéro 1 mondial, lui qui avait gagné le 3ᵉ tour en quatre manches face au Britannique Daniel Evans. Physiquement, Carlos Alcaraz joue relâché et se montre très mobile sur le court. Coup droit, revers, volée, amorti… Tout rentre, c'est un véritable récital. Le natif de Sanremo est dépassé et dans la première manche, à 4-2, ce dernier craque en premier et concède le seul break de la manche. Dès lors, tout roule pour Charlie, qui prend le premier set (6-3) en 32 minutes. 

Alors que son adversaire entame la deuxième manche en menant 30-0 sur son service, l'Espagnol réagit, sans pression, et remonte Arnaldi, tranquillement, en remportant les quatre points suivants (1-0). Le service de son adversaire est pris d'entrée et, maintenant, le numéro 1 mondial peut continuer sa démonstration grâce, surtout, à ses variations. Arnaldi s'efforce à répondre aux atouts de son adversaire, mais en face, c'est beaucoup trop fort. L'Espagnol remporte ses jeux de service, avant de double-breaker à 5-3 pour finaliser la manche (6-3). 

Niveau concentration, c'est du grand Carlos Alcaraz ce lundi. Et malgré son inadvertance à 1-1 sur sa mise en jeu, où l'Italien a réussi à breaker l'Espagnol pour la première fois du match, rien ne peut arrêter le natif d'El Palmar. Réaction immédiate, il debreake dans la foulée (2-2) et retrouve sa solidité sur son service. Et à 5-4, 0-30, sur le service de l'Italien, le numéro 1 mondial sort un passing de qualité pour se procurer trois balles de match. La première est la bonne, Alcaraz a montré à Arnaldi qui était le patron (6-3, 6-3, 6-4). 

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