Tudor : "Je ne comprends pas pourquoi on joue trois matches en six jours"

La victoire face au PSG : "C'était un de nos meilleurs matches. Ça nous pousse à faire encore mieux, il y avait une bonne symbiose avec les supporters."

Le calendrier : "Je pense que c'est un sujet important. Je ne comprends pas pourquoi on joue trois matches en six jours. Il faut respecter les joueurs qui fournissent un spectacle et qui peuvent se blesser. On m'a dit que ce sont les TV qui décident. Dans ce choix on ne respecte pas forcément l'OM. Les choix devraient se faire en accord avec les clubs. Je verrai dans deux semaines si ça se reproduit. Je suis curieux de voir si ce sera la même chose."

Pas de rotation : "Il y a de l'enthousiasme, demain, on se présentera avec l'équipe la plus forte, sans faire de rotation. Les joueurs sont en forme, demain ce ne sera pas simple mais on y croit."

Sa carrière : "J'ai arrêté ma carrière de joueur à 29 ans, j'ai essayé cette carrière de coach et ça m'a plu. Je pourrais arrêter assez tôt parce que c'est très stressant comme travail."

Point médical : "Nuno Tavares n'est pas disponible, il faut qu'on voie pour 2-3 autres joueurs."

Bailly : "Il sera dans le groupe. Il apporte un plus dans un secteur de jeu où d'autres joueurs ont bien performé. Il lui faudra un peu de temps pour retrouver du rythme."

Le QI foot : "Je pense que c'est une qualité difficile à mesurer mais qui est très importante. Combien de fois, je devais répéter les choses à mes débuts comme entraîneur (en Croatie) ? Ce qui prime c'est le cerveau. On peut répéter les choses 30x à un joueur et il ne le fera pas. Mais moi, je me considère chanceux avec ce groupe."

Clermont : "Le concept de favori n'existe pas vraiment. On peut trébucher en se pensant favori. Il faut être la meilleure version de soi-même, faire de son mieux, il faut se concentrer sur soi-même, j'essaie de transmettre ça aux joueurs."

L'exemple du match face au PSG : "Je pense que c'est le chemin à prendre, aller au-delà des pièges et de la fatigue. Il faudra encore se dépasser demain et laisser le reste de côté."

Rongier : "Ce n'était pas un pari mais un choix (de le mettre en défense). J'y croyais. Demain, il ne sera pas en défense."

Malinovskyi : "Ruslan a un style de jeu semblable au nôtre. Il faut du temps aux recrues pour s'intégrer et s'adapter. Ils ont les qualités."