Les Bleus du volley prêts pour la Ligue des nations, rampe de lancement des JO

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Les Bleus du volley prêts pour la Ligue des nations, rampe de lancement des JO

L'équipe de France de volley, en septembre dernier.
L'équipe de France de volley, en septembre dernier.AFP
L'équipe de France de volley, championne olympique en titre, entame sa campagne de Ligue des nations (VNL), contre la Bulgarie ce mardi à Antalya (Turquie), avec l'ambition d'être performante dans cette épreuve, idéale pour préparer les Jeux de Paris, son grand objectif.

Comme l'écrivit André Gide, "choisir, c'est se priver du reste". Aussi, les Bleus ne veulent pas choisir.

Etant donné qu'on ne peut se parer d'or olympique que tous les quatre ans, le reste c'est cette VNL annuelle. Mais elle leur réussit assez bien, puisqu'ils l'ont remportée en 2022, après avoir atteint la finale en 2018 pour l'édition inaugurale de cette compétition créée sur les cendres de la Ligue mondiale.

Et en 2021, sur la route des Jeux de Tokyo, les Français avaient fini à la troisième place, démontrant alors, sans que cela ne préfigure forcément l'exploit à venir, qu'il fallait en tout cas ne pas les mésestimer.

Cette Ligue des nations fourmille de bons souvenirs pour la France du volley. Hors de question donc pour Ervin Ngapeth and co de l'aborder avec l'arrière pensée de ménager leur monture, avant la défense de leur titre olympique (26 juillet-11 août).

"On la considère vraiment comme une répétition avant les JO, elle doit nous permettre de nous préparer du mieux possible et d'avoir un maximum de certitudes dans notre jeu. Il faut rentrer dans cette compétition avec l'idée d'être le plus performants possible sur chaque match", a résumé auprès de l'AFP le passeur Benjamin Toniutti.

Plein de confiance

"C'est important pour notre équipe de faire le plein de confiance. Donc il faut vraiment qu'on essaie de développer le meilleur jeu possible, afin de progresser de week-end en week-end", a encore appuyé le capitaine samedi, quelques heures avant la victoire convaincante en amical contre les Pays-Bas à Orléans.

Rassemblés depuis le 6 mai, les Bleus sortent d'une "longue et fatigante saison" dans chacun de leur club, de l'aveu de Toniutti. Ce dernier et Jean Patry, qui l'a rejoint au sein de la formation polonaise du Jastrzębski Węgiel, restent d'ailleurs sur une finale de Ligue des champions perdue qu'ils veulent vite oublier.

Mardi, ils entreront dans la VNL face aux Bulgares, "une équipe très physique, assez jeune", selon Toniutti. Suivront, dans la semaine, "un match compliqué" contre la Slovénie qui brigue un des cinq tickets en jeu pour le tournoi olympique, puis les Etats-Unis "qui sont avec la Pologne et l'Italie les favoris pour l'or olympique" et enfin la Turquie.

La compétition se poursuivra du 2 au 9 juin à Ottawa et du 14 au 23 juin à Manille, avant le Final 8 que les Bleus espèrent disputer à Lodz du 24 juin au 1er juillet.

Sur quoi il restera un peu plus de trois semaines pour atteindre le pic de forme olympique voulu, en espérant l'avoir déjà tutoyé en route.

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